« Très anciens et pourtant toujours neufs, mécaniques par leur dispositif, mais n’agissant qu’avec le ressort de l’imagination ; à la fois limités à un espace géométrique et figé, et illimités par leurs combinaisons, se développant sans cesse et pourtant stériles ; une réflexion qui ne mène à rien, une mathématique qui ne calcule rien, un art qui ne crée pas d’œuvres, une architecture sans matières (…). Où commence-t-il, où finit-il ? » Le Joueur d’échecs — Stefan Zweig
Inspiré par la description poétique des échecs par S. Zweig, je détourne son damier très normé et dérive autour pour créer un système génératif infini de formes, motifs et jeux graphiques.
Images générées par la supperposition de 2 damiers
Ce système graphique devient ainsi l'élément principal de ma scénographie ainsi que le motif pour le plateau de mon jeu d'échec. Une manière de boucler la boucle.